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Comment vivre la relation avec sa famille ?

  • Alien
  • 14 janv. 2024
  • 2 min de lecture

Merci frèrot

De me trouver drôle

Bien que nous avons des comportements opposés

Nous ne sommes pas si différents, vrai ?


Comment vivre sa relation avec sa famille ?

Montrer son affection ou rester dans l'intention ?

Passer du temps dans le salon ou ne venir qu'en cas de tensions ?

Discuter de tout et de rien ou discuter de nos réels problèmes et besoins ?

Tout se cacher ou tout se divulguer ?


Je me pose cette question magnifique

Ce qui est sûr c'est que la réponse n'est pas unique


Pourquoi cette question ?


Aujourd'hui, ma mère est venue à ma chambre

Lettre à la main, doutes à l'instinct

L'heure est arrivée de garer le train

Qui si longtemps fuyait la gare par divers moyens.

La colère remonte, car je dois (encore) faire face à mes bêtises aux minimes gains.

Réunion de famille improvisée dans ma chambre, dans mon coin.

Moi qui lui avait dit jadis "Un jour quand tout passera je te raconterais bien"

Ce jour est arrivé vite, c'était pas le plan de ce matin.

Elle a enfin appris qui vivait sous son toit et tondait le jardin.

Un gros morceau en tous cas, celui que je raconte ici sans fin.

Ma haine contre moi-même qui dure sans fin.

Ma folie qui fait parti de moi tous les matins

L'école qui est une taule de passions et de gens malsains

Je n'avais pas de larmes, qu'un coeur sans arme...

Dur, durcit par la ur, non pas celle des rappeurs, mais celles des bas instincts urbains

Non la cocaïne et l'alcool ne sont pas sur mon chemin

Mais d'autres drogues plus subtiles subsistent dans mon instinct


Ma famille m'a vu sous un nouvel œil

Je savais qu'il s'étonnerait à lire ma feuille

La feuille de ma véritable histoire

Qui n'était pas complète, car je ne veux pas des leçons jusque tard


Je connais leurs avis, leurs réponses, ça me tord l'âme.

Car je ne voulais pas qu'ils connaissent ma véritable personne aux multiples drames

Ils savent ce que j'aurais moi-même préféré ne pas (s)avoir

Bon, à qui en vouloir si ce n'est moi et mes idioties infâmes ?


Merci à ma famille de ne pas me juger

Enfin si, mais pour me faire réagir, pour

m'améliorer

Pour m'aimer, car je sais que vous m'aimez.

J'ai senti votre tristesse, votre silence m'a touché

Oui, le silence touche parfois bien plus que de nombreuses paroles dictées.

La simple présence suffit à m'aimer.


Il est resté assis longtemps sur ma chaise de bureau

Sans parler, mais sans partir s'occuper

Car il a des choses à faire (oui jouer)


Elle est restée avec moi me faire réfléchir

Me dire que tout cela arrive à tous de fléchir.

Qu'il faut se relever et s'en sortir...



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