Avons-nous ce que nous méritons ?
- Alien
- 8 oct. 2024
- 2 min de lecture
Avez-vous déjà tout donné ?
Jusqu'à ne plus pouvoir arrêter vôtre cœur de vibrer ?
Jusqu'à ne jamais vouloir vous arrêter ?
En visant les étoiles et le cœur de votre personnalité ?
Est-ce que vous avez déjà dis fièrement
A quel point vous le méritez ?
Mais mériter quoi ?
Une pause, le repos voire même ce cadeau ?
Je dormais sur le lit qui n'était même pas le mien
Je souriais sur le lit pensant avoir déjà tout atteint
Pensant n'avoir plus aucune limitew jusqu'au matin....
Je n'avais que mon imagination comme dessein
Je sortais quand je voulais,
Je pilotais tout ce que je souhaitais
Jusqu'à me battre pour ne pas sommeiller
Le pied toujours plus loin sur le plancher.
Mais que fuyais-je ?
A toute allure entre les voitures, comme dans un jeu ?
Je n'ai jamais pensé mérité quelque chose
Ou seulement avec naïveté et espoir mal placé...
Mais je courais devenir ce que, petit, je rêvais d'être
Astronaute, autour d'étoiles et d'un univers inconnu
Je le suis finalement devenu
En visant les étoiles sans ne jamais être connu....
Je fais ce que je veux dans cette vie
Cette liberté ouvre à l'inconnu
Car le monde n'est pas si bien connu...
Et le danger lui m'accompagne plus que mon ombre
Car la nuit je sors sans ombre
Vers un destin parfois sombre
Sans même voir la route devant moi
Les phares n'étant pas assez lumineux
J'accélère dans la pénombre
Je roule même si je tombe....
Et j'aimerais raconter la fois où
Devant ce film parlant d'un lycéen n'ayant pas profité de son enfance et insouciance
Se rendait compte après l'examen qu'il auri dû profiter.
Ni une ni deux, j'ai éteins la télévision,
Puis roulé jusqu'au fond....
Au fond de la nuit,
Entouré des étoiles infinis
Et de cette si grande mélancolie
Comme l'astronaute
Qui,
Une fois dans l'univers
Se retourne vers la Terre
Souhaitant un peu de vie autour de lui....
Je donne donc ce que j'ai aux plus inconnus
Car eux n'attendent rien de mon pauvre statut
Et sourient pourtant lors de ma venue
Je voudrais raconter cette nuit où
Vêtu de mon original kimono
Je faisais le plein en mode solo
A la vue de cet homme patogeant dans l'eau
Seul aussi, avait besoin d'un petit cadeau
J'ai donc pris le soin de lui parler
De lui donner mon attention et le motiver
A ne rien lâcher, ne rien abandonner.
Je suis remonté dans la voiture
Avec les larmes de solidarité
Alors,
Mérite-t-on ce que nous avons ?
Peut-être pas,
Mais c'est la réaction qui compte
Faire de n'importe quelle émotion
Un moteur, pour rugir comme un lion !
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